Résumé :
Lissa et Rose se sont enfuies de l'académie il y a maintenant presque deux ans. Depuis Rose la protège et la maintient en vie comme doit le faire les dhampirs envers les Moroï qu'ils ont sous leur responsabilité. Mais le jour où les autres gardiens de l'académie les retrouve, elles sont séparées et n'ont pratiquement plus le droit de se voir, pourtant Lissa est encore en danger...
Qui la menace ? Rose pourra-t-elle la protéger ?
Avis :
Ca faisait un moment que j'avais envie de lire ce livre, mais je n'avais jamais eu l'occasion de l'acheter, donc noël a été une très bonne occasion ! Mais ce n'est que maintenant que j'ai trouvé le temps de l'ouvrir... Et je remercie le voyage au Portugal qui m'a permis de le commencer ! Enfin bref, je n'ai pas été deçue par ce livre, même si je n'imaginais pas ça tout à fait ainsi...
Il y a quand même un point négatif, j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire. Je pense que c'est en grande partie parce que l'on nous parle de quelque chose qui ce serait passé, mais qu'on ne nous explique pas quoi exactement. Ca donnait l'impression que c'était un tome 2 (alors que ce n'est pas le cas). Mais heureusement au bout d'un moment, l'intrigue prend le dessus sur les manques et je suis totalement rentrée dans l'histoire et puis il nous dévoile aussi les points d'ombres...
Donc, une fois rentrée dans l'histoire, par contre, je voulais savoir la suite. Il y a quand même pas mal de suspense. J'avais vraiment envie de savoir ce qui allait ce passer. Après, c'est vrai que l'histoire reste plutôt simple et n'a rien qui change beaucoup des autres romans que j'ai pu lire, mais j'ai quand même passé un bon moment à le lire. Il a vraiment quelque chose d'addictif...
J'ai bien aimé les personnages, même si sans conteste mon coup de coeur revien à Dimitri ! Je pense que c'est en grande partie à cause de lui que j'avais autant envie de connaître la suite ! Lissa et Rose sont sympas, mais elles sont trop comunes, je dirais. Elles n'ont pas vraiment de grain de folie, je ne sais pas trop comment dire. Enfin, Dimitri, est le beau mec, refermé sur lui-même, comme on en voit beaucoup aussi, mais je suis tombée sous son charme...
La fin est pas mal, elle m'a plutôt rendu perplexe, je dois dire... Le piège tendu à Rose et à Dimitri m'a beaucoup surprise, je ne m'attendais pas du tout à ça. Et du coup, j'ai eu le sentiment de ne pas comprendre ce qu'il se passait. Mais quand j'ai enfin compris ce qu'il se déroulait, je suis tout de suite restée scotchée ! Et j'ai adoré ! Et ce même si ça restait globalement simple, c'est dommage...
Je lirai sans aucun doute la suite, mais pas tout de suite, malheureusement, car la dernière fois qu'on a été à france Loisir, je n'ai pas pris le tome 2 sous prétexte que je n'avais pas encore lu le premier. Le problème, c'est qu'on y est aller il y a seulement 2 semaines, du coup il va falloir que j'attende plusieurs mois... Ah, si j'avais su !
Un premier tome pas mal du tout, même s'il reste simple !
15/20
autres avis : Luna
Lu dans le cadre du challenge new PAL 2013 [ma progression]
Lu dans le cadre du challenge ABC 2013 [ma progression]
Lu dans le cadre du baby challenge livraddict jeunesse 2013 [ma progression]
Mais son attention était tendue vers l'extérieur. Indifférent à mon commentaire, il se ramassa soudain sur lui-même, tous les poils hérissés. Sa queue était agitée de mouvements saccadés.
Mon sourire s'évanouit aussitôt, tandis que je me redressait péniblement. La chambre se mit à tournoyer, et j'attendais que cette impression cesse avant d'essayer de me lever. Lorsque j'y parvins enfin, le vertige me reprit mais, cette fois, il refusa de passer. Néanmoins, je trouvais la force de tituber jusqu'à la fenêtre pour découvrir ce qui contrariait tant Oscar. Mon approche le fit sursauter, mais son regard inquiet se reporta vite sur l'extérieur.
Lorsque je me penchai à la fenêtre, une brise tiède, étonnamment tiède pour un automne à Portland, souleva mes cheveux. La rue était sombre et relativement calme. Il était 3 heures du matin, la seule heure où un campus s'apaise vaguement. La maison dans laquelle nous logions depuis huit mois était située à dans une rue résidentielle où s'alignaient des habitations aux façades dépareillées. L'ampoule moribonde du lampadaire le plus proche clignotait, mais me permettait encore de deviner les silhouettes des bâtiments et des voitures. Dans le jardin des notre propre résidence, je distinguais assez bien les arbres et les buissons.
Et un homme qui me regardait.