Résumé :
Il y avait de fortes chances pour que cela arrive, mais difficile d'anticiper la sentence qui vient de tomber sur Mercy. Elle est dans le collimateur de la reine des vampires Marsilia pour avoir tué un de ses sbires et surtout pour le lui avoir caché. Mercy va devoir trouver une solution pour sauver sa peau et pour cela, elle ne va pas avoir d'autres possibilités que de demander de l'aide à Stephan et son voisin devenu officiellement son petit ami.
Se sortira-t-elle de toute cette pagaille ?
Avis :
Je devais trouver un livre publié avant 2010 pour valider ma consigne du challenge où vous êtes le héros. Et j'ai finalement pensé à cette saga et donc à ce quatrième tome. C'est assez fou, parce que je ne sais déjà plus quoi écrire alors que je ne suis qu'à la seconde ligne de ma chronique. C'est assez étrange, parce que ce livre et surtout l'intrigue ne m'a absolument pas marquée...
Je crois que je commence un peu à me lasser de cette saga. Ce tome reste intéressant, mais il est loin de cassez quatre pattes à un canard ! Je ne trouve pas non plus que le suspense soit vraiment au rendez-vous... Et puis, je ne sais pas, mais c'est assez cliché... L'intrigue, mais surtout les relations entre les personnages ! J'avoue que le triangle Mercy-Adam-Samuel m'agace de plus en plus. Le fait qu'elle en choisisse un officiellement n'a pas changé grand chose à part que maintenant c'est systématiquement rappelé dans le récit !
Bref, je ne garde pas spécialement un très bon souvenir de ce tome. Il est bien, hein je ne vais pas dire le contraire vu que je l'ai quand même lu dans la journée, mais j'espère que les prochains tomes réélèveront le niveau. Je ne sais pas, j'ai le sentiment qu'il manque quelque chose dans l'intrigue, vous savez, ce petit quelque chose qui rend une histoire captivante !
Bof, intéressant, mais sans plus...
13 / 20
Lu pour le challenge New PAL 2017 [ma participation]
J'ignore ce que ma mère aurait pu répliquer. Probablement une réponse très polie. Mais quelque chose apparut soudain entre maman et Adam avec un craquement qui me fit penser à un œuf tombant sur un sol de ciment, une chose qui flottait à une vingtaine de centimètres de mon parquet. Cela avait la taille et vaguement la forme d'un être humain, sauf que c'était noir et crépitant. La chose s'écrasa au sol en émettant une odeur de brûlé, de sang séché et de cadavre en décomposition.
Je contemplai la chose un trop long moment, incapable d'ajuster mon esprit à ce que me disaient mes yeux et mon nez. Même en sachant que peu de créatures étaient en mesure d'apparaître dans mon salon sans passer par la porte, je ne parvenais pas à l'identifier. Ce ne fut que le tee-shirt vert déchiré et taché, sur lequel le train arrière d'un dogue allemand très familier était encore visible, qui me contraignit à admettre que cette chose rabougrie et calciné était Stephan.