J'écris sur ce blog des chroniques sur les livres que j'ai lus. Il n'y a de commenté que des romans, BD, etc que j'ai lu peu de temps auparavant. Désormais, vous trouverez aussi mes avis sur les films que j'ai été voir au cinéma et sur les séries vues.
Résumé :
La mère d'Aurélie part un mois en France avec son nouveau mec François. Du coup, Aurélie est obligée d'aller chez sa grand-mère Laflamme... En plus, Nicolas a rompu, mais elle l'aime encore.
Peut-elle le reconquérir ? Que va-t-il se passer pendant les vacances ?
Avis :
Je vais être franche, au départ, je n'avais pas plus envie que ça de lire ce roman. Mais bon, ma sœur l'avait emprunté à la bibliothèque, alors autant le lire. Bon, au moins, il n'est pas long à lire, parce que je n'ai pas vraiment aimé... En fait, je me suis même un peu ennuyée !
L'histoire est sympathique, mais on n'avance pas. Franchement, j'ai cru que ça ne finirait jamais... Ce n'est pas qu'il ne se passe rien, au contraire, c'est juste que j'ai eu l'impression de tourner en rond par rapport aux deux tomes précédents. Une nouvelle fois, tout tourne autour de François, Nicolas et l'école. Bon, cela dit, j'ai bien aimé les passages chez la grand-mère...
Aurélie ne me plait décidément pas : Je n'arrive pas à croire qu'elle ait 15 ans. Elle réagit de façon tellement gamine par moment. Elle me fait d'avantage penser à quelque d'une dizaine d'année... Au moins, il y a la grand-mère et Gabriel ! Ils sont vraiment sympathiques et attachants aussi ! Je n'arrive pas à piger l'amitié entre Tommy et Aurélie, il lui a quand même détruit son couple, mais non, c'est pas grave !
La fin est comme le reste du roman, elle n'apporte pas grand chose de nouveau... Enfin, je ne dis pas qu'elle n'est pas intéressante, mais j'aurais aimé plus ! Bon, sans surprise, je ne lirai la suite que si on l'emprunte à la bibliothèque. Dire qu'en tout il y a huit tomes ! Mais que peut-il se passer ?
Vraiment moyen !
10/20
Bonus : Challenge Gourmand, session 1 [ma participation]
Oh, oh, oh ! Vraiment intéressant ! Oui, parce que, comme je l'ai dit, je ne pense plus du tout à Nicolas. Par contre, je suis incapable de m'empêcher de ressentir, disons, un pointe d'émotion quand je respire l'odeur du bon assouplissant (dont je ne connais toujours pas la marque) que ses vêtements dégageaient ou que quelqu'un mâche un chewing-gum au melon (son préféré). Mais selon ce que dit soeur Rose, c'est un détail qui se résorbera facilement (en évitant tout contact avec l'assouplissant ou le chewing-gum au melon). Et sentir du chocolat me met heureusement une autre odeur en tête (nez).